Comme un tatouage sur le coeur – Anamorphose Production

comme un tatouage
sur le coeur

Une bande de sales gosses qui pense que la réalité quotidienne est plus prosaïque que romanesque.

Toujours les pieds dans les flaques, avec eux la sagesse s’évanouit dès qu’ils se retrouvent ensemble.
Ces garnements pensent que le plus court chemin c’est d’enjamber sans détours le convenu, les évidences, les contraintes.
Atypiques, rebelles, déraisonnables ?
peut-être…

DÉJA FICHÉS !

pascal

Producteur

Réalisateur / scénariste

Le chef de bande, avec lui c’est simple et direct : « avec moi, avec vous ». Toujours devant, s’il faut tomber, mieux vaut être le premier. Pascal n’affectionne pas, particulièrement, les enfants trop sages, trop rangés, trop polis. Il leur préfère les beautiful loosers, les écorchés vifs, les inattendus. Dans ses films, il n’y a qu’un seul adn : l’instant critique. En clair, dans la cour de récré, il y a ceux qui l’aiment et ceux qui le détestent.

Sylvain

Directeur de production

Monteur truquiste / Télépilote de Drone

Il y a toujours un gosse que personne n’embête dans la cour. Celui-là c’est sylvain, non pas parce qu’il est craint. Non, tout simplement parce qu’un enfant ne s’en prend jamais au magicien. Celui qui sublime le banal. Surnommé « magic » par ses copains, sylvain c’est celui qui te fait rêver tellement la technique, les sentiments et l’inaccessible te paraissent d’une simplicité enfantine. Toujours avec le sourire.

enzo

Directeur de la photographie

Steadycamer / Électro / Machino

il y a des gosses qui font des cabanes de ouf, qui réparent ton vélo en souriant, leurs mains sont des solutions immédiates. Enzo fait partie de ceux-là. Tellement il a de cordes à son arc. Il peut envoyer des flèches dans toutes les directions, de la machinerie à la lumière et le plus bluffant c’est qu’il vise juste. Dès qu’il a une caméra entre les mains, il ne s’arrête plus, il tourne encore, encore, encore jusqu’à l’épuisement.

RÉMY

chef opérateur

ASSISTANT CAMÉRA / POINTEUR

Il y a toujours un petit qui traine tout seul, au fond de la cour, en regardant les grands s’amuser. Et puis un jour, ils l’embarquent. Rémy, c’est devenu la mémoire de l’atelier, le regard qui s’émerveille devant un objectif anamorphique ou quand Enzo équilibre son stead. Il est devenu indispensable, un futur qui grandit vite.